Couverture de naissance de Laurine

Ces derniers mois, vous avez pu voir sur Facebook l’évolution dans la réalisation d’une couverture de bébé en patchwork.
A l’époque, bébé s’appelait encore « Choupinette ».
Elle est née il y a quelques jours et se prénomme Laurine !

 Étape 1 : Découpage des pièces

 

Etape 2 : Disposition des carrés pour choisir leur emplacement
 Étape 3 : Assemblage des pièces
D’ailleurs si tu regardes bien, entre la photo du dessus et celle du dessous, 
il y a des carrés qui ont changé de places 🙂
Étape 4 : [C’est ce que j’aime le moins, c’est tatillon] Tu bâtis (fais des grands points de couture) ta couverture, ton rectangle de ouate et ta doublure ensemble.
(pas de photos des étapes 4 et 5)
Étape 5 : Matelassage (petits points avant) pour maintenir le tout. Ici, j’ai choisi de faire des bulles, des cercles quoi !
 Étape 6 : Coudre les bords pour terminer la couverture :
ici, c’est la technique du « toi-et-moi »

 

TADAAAAAM !

 

 

 Hop, le matelassage ce sont tous les cercles que l’on voit sur la couverture !

 

 

 Un coup d’œil sur la doublure

 

 

 et le doudou assorti qui l’accompagne…

 

Liberté de lire

Une parenthèse pour lire les textes de mon ami Florent
« Pour te dire <<Je t’aime>>
[…]Est-ce utile d’avoir des témoins 
Comme la police en a besoin ?
Comme si l’amour était un crime.
Non, mais c’est une chose intime.
Et puis jusqu’à aujourd’hui
Nous ne sommes que deux dans le lit.
A quoi bon un avis extérieur ?
Je ne fais confiance qu’à nos cœurs.
Pour te dire je t’aime
Je te donne ce poème.[…] »
 —
« Le mauvais vent
[…] Dieu qu’il est embêtant 
Ce sacré mauvais vent
Qui gâche tout notre être !
Il est naturel, c’est vrai.
On ne peut l’éviter
Qu’on soit voyou ou prêtre…
Il reste cet ennemi
Qui n’a qu’une seule phobie,
Celle qu’on ouvre la fenêtre.
Car il craint devoir mourir
Avant de pouvoir envahir
L’endroit où il pénètre. »
Florent Sublard,
Tous droits réservés

Liberté d’émotions – Florent Sublard, TheBookEdition, Coll. Arabesques, décembre 2012.
Liberté d’aimer, liberté de penser, liberté d’en pleurer, liberté d’en rire

Toile & papier 3/3

La deuxième toile nous ayant bien plu, nous avons continué sur le même principe cette fois-ci sur deux toiles un peu plus grandes.

C. voulait que nos tableaux aient du relief, nous avons pris le parti de coller uniquement la base des coquelicots. (Cliquer pour agrandir les photos)

Du fil de coton pour les tiges…

 

 

Et voici le second…
En mettant en relief les deux oiseaux sur les branches…

 

 

Ça vous plait ?

Toile & papier 2/3

Bien déçus du premier résultat mais pas découragés, nous sommes allés dans une boutique de loisirs créatifs, la toile sous le bras chercher quelques conseils et au passage une nouvelle toile pour recommencer.
 
En discutant avec une des vendeuses voici les remarques et conseils qui nous ont permis d’avancer :
– La gouache. La première erreur a été d’utiliser de la gouache qui est sensible à l’humidité et a pâli au contact du vernis-colle. Nous prenons donc un tube d’acrylique gris moyen.
 

– Le vernis-colle. La technique et le vernis-colle décopatch sont VRAIMENT réservés au papier décopatch (reconnaissable car très fins). Pour des papiers plus épais et sans avoir à les enduire des deux côtés (héhé) choisir une colle à papier ou tout support. On nous conseille la Cléocol (la colle qu’utilisait Cléopâtre, si c’est vrai !)

– Le vernis. C’est une question de goût, on avait choisi le vernis brillant pour tenter de masquer les traces mais notre cœur balance plutôt pour le mat. Nous repartons avec une bombe de vernis mat.

°°°
 

On efface tout et on recommence (sur une petite toile au cas où).

1.. On peint la toile de gris acrylique. Une fois sèche, on protège la couleur avec du vernis mat.
2.. On colle nos morceaux de papier.
3.. Ça y est, ça a marché, le rendu est celui que l’on attendait !

Toile & papier 1/3

Quand on a refait notre véranda il y a trois ans, on avait décoré nos murs de deux toiles imprimées en noir et blanc (la véranda est grise).
Mais depuis, le temps et le soleil sont passés par là et nos toiles « Tour Eiffel » et « Manhattan » faisaient grise mine.
L’idée est venue de faire nous-même les prochaines en ayant pour base une couleur unie et en utilisant les papiers (dont je me sers pour l’origami) pour créer les motifs !
Les illustrations d’un dépliant de nos vacances nous plaisaient bien…

Youplaboum, nous voilà partis chez Dalbe pour acheter nos toiles sur châssis et sitôt rentrés à la maison, encouragée par C., je me suis mise à l’œuvre.

°°°

– Pour commencer, j’ai appliqué une couche de gouache noire (1ère erreur)

– Mes motifs découpés,

j’ai appliqué au vernis-colle décopatch mes morceaux de papier (2ème erreur)

– En m’apercevant qu’uniquement appliqué sur le verso, le papier ne tenait pas, j’ai également passé du vernis-colle sur l’endroit en suivant la technique décopatch.

– Problème : une fois sec, le vernis-colle donne un aspect brillant sur le pourtour des formes… Si j’insiste sur le bord du papier en essayant de ne pas trop dépasser, la peinture noire s’estompe !

– Le résultat est mitigé, l’aspect du papier est changé mais ça n’est pas gênant ! Ce qui l’est plus, c’est le brillant tout autour des formes qui fait ressortir toutes les imperfections notamment celles de la peinture noire…

– Pour tenter d’uniformiser, C. pulvérise sur la toile du vernis brillant. (3ème erreur). Le brillant du vernis-colle domine toujours et les spots au plafond font ressortir tous les défauts !!!

Cette toile était une première tentative, rendez-vous demain pour la deuxième partie 😉